SOSA 2020 : Qui est il ?

Qui est mon SOSA 2020 ?
Qui est l’homme qui se cache derrière mon SOSA 2020 ?
Source svgsilh.com

Après avoir subi en 2019 un petit « coup de mou généalogique », je me suis penché sur la quête du SOSA de l’année (Donc mon SOSA 2020). En ce début d’année, j’avais besoin d’une bonne raison pour repartir à l’assaut de ma généalogie.

L’an passé, je ne m’étais pas lancé alors que la Fédération Française de Généalogie nous y avait incité. Cette année, j’ai décidé de lancer la recherche. Sur d’aller vite et donc de pouvoir consacrer quelques articles au chemin parcouru entre le SOSA 1 (Moi) et ce fameux SOSA 2020, je me demandais combien d’articles seraient nécessaires pour raconter cette histoire.

Tout d’abord ce fameux SOSA 2020, ça correspond à quoi exactement ? C’est mon 2020 ème ancêtre ?
Non ce n’est pas tout à fait cela, c’est effectivement l’ancêtre portant le numéro 2020 dans la numérotation SOSA STRADONITZ.
Cette numérotation affecte un identifiant unique (ou presque à nos ancêtres). Pourquoi presque unique, parce que les implexes viennent ainsi perturber le modèle en donnant deux identifiants différents à un même ancêtre.

Comment arrive-t-on a ce fameux SOSA 2020 ?

Comment le retrouve t on ce fameux ancêtre alors ? il suffit d’appliquer la numérotation en partant de la fin.
Ainsi 2020 est le père de 1010 lui même père de 505, elle même mère de 252, père de 126, père de 63, mère de 31, mère de 15, mère de 7, mère de 3, mère de … moi.
Une longue lignée féminine pour démarrer, que les implexes viendront perturber : Ainsi, 63 porte aussi le numéro 57, 126 le numéro 114, 252 le numéro 228, 505 le numéro 457, 1010 le numéro 914, et 2020 …

Je ne m’étendrais pas trop sur les premiers numéros et ainsi on trouvera :
– Moi (1)
– Ma Mère (3)
– Ma Grand Mère Rose (7)
– Eugénie Louise Husson (15)
– Marie Louise Dain (31)
– Françoise Mélanie Laporte (63-57)
– Nicolas Noel Laporte (126-114)
– Nicolas De Laporte (252-228)
– Antoinette Balossier (505-457)
– Etienne Balossier (1010-914)
– et un inconnu que je n’arrive pas à trouver 🙁

Aucune trace des parents de cet Etienne Balossier qui a fait des enfants et est décédé autour de Colligis Crandelain, non loin de Lyon et qui était charpentier. Je ne trouve pas de trace de son mariage avec Elisabeth Aubert elle même décédée au même Colligis à peine un mois après son mari.

Je vais donc m’acharner à retrouver cet Etienne et surtout ses parents pour pouvoir identifier ce fameux SOSA 2020 ! et je vous tiens au courant de la quête, de son résultats et ensuite on pourra détailler le chemin qui nous ramène du SOSA 1 au SOSA 2020.

Asavar

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